Une collection iconique de Cartier qui se réinvente en 2024
Lignes pures, justesse des proportions, précision de la forme… ce bijou d'apparence simple, bombé à l'extérieur, lisse à l’intérieur, est né de l’imaginaire de Louis Cartier en 1924. Elle inaugure, à cette époque, une nouvelle approche concentrée sur la matière, loin de la joaillerie traditionnelle qui privilégie alors le travail des pierres précieuses.
Surtout, “le talent de Trinity, c’est de savoir se réinventer” indique un communiqué de la célèbre maison de joaillerie. Ainsi en 2024 cette bague aux triples anneaux, à la base parfaitement ronde, se métamorphose-t-elle pour composer trois carrés parfaits. Chacun évoquant une valeur partagée par le créateur et la maison : l'amour avec l'or rose, la fidélité avec l'or jaune, et le symbole de l'amitié avec l'or gris.
Ces deux nouveaux modèles s’inscrivent dans la constellation Trinity, aux côtés notamment de la bague en or gris et céramique noire, ou bien du bracelet XL pavé de diamants présenté une première fois en 2004.
“L’idée même de réinventer Trinity de Cartier, icône par excellence, semblait presque risible, un exploit impossible. Mais le défi nous intriguait […] Ce nouveau design appelait une approche sur mesure. Nous avons travaillé le volume à la main : en malaxant, en roulant, en comprimant la matière. À notre grande surprise, une nouvelle forme inattendue a commencé à émerger” explique Marie-Laure Cérède, directrice de la création joaillerie et horlogerie de la maison. Aujourd’hui, cette collection de bagues se révèle être un véritable incontournable de la joaillerie moderne, si bien que beaucoup rêvent de l'avoir un jour à l'un de ses doigts...
La collection Trinity est à retrouver dans les boutiques Cartier ainsi que sur le site cartier.com.
Mannequin : Laura Helene Christensen chez Oui MGMT. Coiffure : Anne Sofie Begtrup avec les produits Oribe chez Wise & Talented. Maquillage : Ismael Blanco avec les produits Dior Beauty chez Agence Aurélien Paris. Assistant réalisation : Thibaud Romain. Assistante photographe : Héloise Dombreval. Numérique : Juliette Breig Kral. Merci à l’hôtel Les Cabanettes (Arles).