Pour sa première exposition en solo, l’artiste Edgar Sarin entraîne le public dans son atelier expérimental. Au cœur de l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins prend place son exposition “Un minuit que jamais le regard, là, ne trouble”.Première exposition solo d'Edgar Sarin, converti à l'art contemporain depuis 2013 après un cursus en école d'ingénieur, “Un minuit que jamais le regard, là, ne trouble” s’installe dans l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins, haut lieu de la culture philosophique et théologique. L’édifice accueille jusqu'au 20 juillet une scénographie aux aspects de cabinet des curiosités ou d'atelier expérimental.
On y trouve des objets trouvés dans la rue ou ailleurs, une chaise (suspendue au plafond), un piano (éventré), une boîte… et des sculptures réalisées par Edgar Savin (formées de pierres et de métaux dorés). Un pendule se balade même à travers l’espace. Le spectateur est littéralement plongé dans l'atelier surréaliste de l’artiste jusqu'à en devenu partie prenante.Pendant seize semaines, Edgar Sarin se livrera à seize interventions et changements de décor (appelées des “minuits”) qui s’opèreront à l’abri de tous les regards chaque jeudi à 11h.
Pour sa première exposition en solo, l’artiste Edgar Sarin entraîne le public dans son atelier expérimental. Au cœur de l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins prend place son exposition “Un minuit que jamais le regard, là, ne trouble”.Première exposition solo d'Edgar Sarin, converti à l'art contemporain depuis 2013 après un cursus en école d'ingénieur, “Un minuit que jamais le regard, là, ne trouble” s’installe dans l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins, haut lieu de la culture philosophique et théologique.
On y trouve des objets trouvés dans la rue ou ailleurs, une chaise (suspendue au plafond), un piano (éventré), une boîte… et des sculptures réalisées par Edgar Savin (formées de pierres et de métaux dorés). Un pendule se balade même à travers l’espace. Le spectateur est littéralement plongé dans l'atelier surréaliste de l’artiste jusqu'à en devenu partie prenante.Pendant seize semaines, Edgar Sarin se livrera à seize interventions et changements de décor (appelées des “minuits”) qui s’opèreront à l’abri de tous les regards chaque jeudi à 11h.
Pour sa première exposition en solo, l’artiste Edgar Sarin entraîne le public dans son atelier expérimental. Au cœur de l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins prend place son exposition “Un minuit que jamais le regard, là, ne trouble”.
Première exposition solo d'Edgar Sarin, converti à l'art contemporain depuis 2013 après un cursus en école d'ingénieur, “Un minuit que jamais le regard, là, ne trouble” s’installe dans l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins, haut lieu de la culture
On y trouve des objets trouvés dans la rue ou ailleurs, une chaise (suspendue au plafond), un piano (éventré), une boîte… et des sculptures réalisées par Edgar Savin (formées de pierres et de métaux dorés). Un pendule se balade même à travers l’espace. Le spectateur est littéralement plongé dans l'atelier surréaliste de l’artiste jusqu'à en devenu partie prenante.Pendant seize semaines,
Pour sa première exposition en solo, l’artiste Edgar Sarin entraîne le public dans son atelier expérimental. Au cœur de l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins prend place son exposition “Un minuit que jamais le regard, là, ne trouble”.Première exposition solo d'Edgar Sarin, converti à l'art contemporain depuis 2013 après un cursus en école d'ingénieur, “Un minuit que jamais le regard, là, ne trouble” s’installe dans l’ancienne sacristie du Collège des Bernardins, haut lieu de la culture philosophique et théologique. L’édifice accueille jusqu'au 20 juillet une scénographie aux aspects de cabinet des curiosités ou d'atelier expérimental.
On y trouve des objets trouvés dans la rue ou ailleurs, une chaise (suspendue au plafond), un piano (éventré), une boîte… et des sculptures réalisées par Edgar Savin (formées de pierres et de métaux dorés). Un pendule se balade même à travers l’espace. Le spectateur est littéralement plongé dans l'atelier surréaliste de l’artiste jusqu'à en devenu partie prenante.Pendant seize semaines, Edgar Sarin se livrera à seize interventions et changements de décor (appelées des “minuits”) qui s’opèreront à l’abri de tous les regards chaque jeudi à 11h.